Meurtre à la bibliothèque

La singularité de ce roman policier est d’avoir deux fins possibles par rapport aux coupables. Le choix du lecteur optera pour une fin morale ou une fin un peu immorale.

Édouard Debelder, Le Courrier de l’Escaut, 20 janvier 2020.

Chez lui, l’efficacité se met toujours au service de la narration. Habitué des livres jeunesse, il pratique une narration fluide, sans démonstrations stylistiques, conscient qu’un livre doit demeurer accessible au plus grand nombre. L’originalité de ce récit tient dans son épilogue. Au lecteur d’effectuer le tri entre deux conclusions et deux maximes.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 5 février 2020.

Un roman de moins de 200 pages qui a la force et la rapidité de la littérature destinée aux ados et la qualité d’une intrigue policière d’une brique pour adultes. Un vrai tour de force réalisé par Frank Andriat. Chapeau !

Marie-Sophie Grognet, Branchés Culture, 5 février 2020.

Ce qu’on en pense… que du bien ! Un ouvrage format poche , 180 pages que vous pourrez dévorer en une soirée.

Terry Lemmens, Vivacité, 12 février 2020.

Un polar bourré d’humour, de suspense, de faux coupables, le lecteur enquête lui aussi pas à pas au fil de sa lecture. Un huis clos bien amené par la plume toujours incisive de Frank Andriat qui offre en plus au public le choix entre deux fins possibles.

Sophie Dalla Valle, Les papotis de Sophie, 27 février 2020.

L’originalité de Meurtre à la bibliothèque, bref roman pour ados de Frank Andriat, est sa double fin : morale ou immorale ? En fonction du pedigree du criminel et des circonstances du meurtre, chacun se fera son propre avis.

Michel Paquot, Vers l’Avenir, 5 mars 2020.

Une intrigue efficace qui fera passer un bon moment à nos adolescents (…) À « mon époque », j’avais découvert et travaillé le genre policier en classe grâce aux livres de Georges Simenon et d’Agatha Christie. Avec ce livre de Frank Andriat, la relève est assurée !

Jessica, The Eden of Books, 16 mars 2020.

Grâce à son style fluide, sans fioritures mais efficace, ce récit est accessible à tous les jeunes lecteurs et devrait plaire à un grand nombre.

Caroline De Liever, Karoo, 23 mars 2020.

Frank Andriat sait y faire pour ficeler des intrigues moins légères qu’il n’y paraît et ainsi donner le goût de la lecture et des mots aux plus réfractaires.

O.V.V., Focus Le Vif, 26 mars 2020.

Ce roman plaira aussi bien à la jeunesse qu’à l’adulte que nous sommes. On ne peut pas s’ennuyer au cours de l’histoire. Les pages défilent, l’histoire est bien ficelée et le coupable n’est connu qu’à la toute fin. Un roman à mettre entre toutes les mains.

Les moments lectures de Laconteuse, 7 avril 2020.

Posted in On en parle. RSS 2.0 feed.