Un baiser et tout s’emballe. Alice devient la cible de Lena… qui était sa meilleure amie. Les moqueries, les mensonges, les insultes pleuvent sur son téléphone.
Elle ne peut rien contre la haine qui répand ses métastases partout dans sa vie, contre ces inconnus qui semblent si bien la connaître et qui clament au monde combien elle est nulle. Elle ne contrôle plus sa vie : quelle est l’issue ?
Un roman écrit à la demande des ados de plus en plus confrontés au harcèlement sur les réseaux sociaux. Un livre qui dit l’urgence de relations vraies et qui permet d’ouvrir les yeux sur les immenses dégâts causés par des jeux méchants et sans conscience.
On en parle
Bob et Camille se marient et partent en voyage de noces sur l’île de la Réunion. Le bonheur est au rendez-vous, une folle enquête aussi, car, même en vacances dans un lieu paradisiaque, Bob ne peut s’empêcher de s’interroger sur la disparition d’une toile de Modigliani
dans un hôtel de luxe.
Le septième et dernier tome d’une série pleine de tendresse et d’humour qui a offert à des centaines d’adolescents réticents à la lecture de découvrir le plaisir de lire.
Dossier pédagogique
Souvent, il suffirait d’un signe pour que nous trouvions notre chemin : un regard, une main tendue, un sourire.
Selma a réussi dans la vie mais elle n’est pas heureuse. Placer le faire avant l’être l’a perdue.
Un jour, dans un train, elle rencontre Grégoire, un homme paisible, quelqu’un qui lit Christian Bobin et qui, comme elle, adore Jean-Jacques Goldman.
Au fil du temps, il lui apprend que le bonheur est une valise légère et que la vie qu’on accueille apporte plus de joie que celle qu’on maîtrise. Selma prend conscience de ce que notre mode de vie nous enlève en exigeant chaque fois plus de nous.
Dans ce roman à la fois simple et profond, écrit d’une plume alerte et sensible, Frank Andriat invite les lecteurs à réfléchir à leurs limites, au bonheur à côté duquel ils passent en en voulant toujours trop, et les conduit, par petites touches subtiles, vers une vision plus sereine de la vie.
On en parle
Edition en poche en 2018.
La prof de français propose à ses élèves un roman qui provoque le débat. Justine le trouve génial, mais il choque son père. Tristan, grand lecteur, émet des réserves à son propos, mais la belle Amalia l’adore. Le sujet est dur, le ton très réaliste : les réfugiés syriens ne sont pas les bienvenus pour tout le monde. Rien, Nadir est décidément un sale livre dont aucun lecteur ne sort indemne. Jusqu’à ce que son auteure vienne au collège pour témoigner de son terrible parcours. Jusqu’à ce que la fiction rejoigne la réalité et rencontre l’amour. Un nouveau roman tout en nuances, une réflexion sur la littérature et sur le monde.
Vivre en copropriété a ses bons et ses mauvais côtés, mais le pire jour de l’année est sans conteste celui de l’assemblée générale annuelle, celle où chacun vient chargé de doléances et de colère. Beaucoup s’y taisent et, comme chez le dentiste, attendent que cela se termine, mais d’autres font de cette réunion leur terrain de guerre. Cette année, le pire d’entre eux, Marius Van Eyck, répond aux abonnés absents. Tout le monde s’en étonne et la réunion s’annonce plus paisible. Pourtant, le calme précède la tempête… Une peinture burlesque et légère de la vie en copropriété et de ses aléas. Un doux thriller qui va crescendo jusqu’à la surprise du chef. Une écriture fluide pleine d’humanité et d’humour qui rend l’horreur agréable.
On en parle
Du haut de ses quinze ans, Valentin a des projets plein la tête, une famille formidable et Apollon, le chien qui a grandi avec lui. Son confident, son frère.
Mais tout comme son grand-père adoré, Apollon décline dangereusement. Comment admettre que l’on peut perdre ceux qu’on aime lorsque la vieillesse n’est encore qu’une île lointaine ?
Heureusement, il y a Marta, qui pose sur la vie de Valentin des gerbes de lumière.
Une peinture émouvante et légère du quotidien d’une famille où l’on vit, où l’on rit, où l’on vieillit et où l’on s’aime. Un chant d’espoir qui met l’humain et la tendresse en évidence. Un roman qui fait réfléchir à l’importance des petites attentions qu’on peut avoir pour l’autre.
Dossier pédagogique
On en parle
Nous vivons des temps où nous cultivons notre image, où, centrés sur nous, nous éprouvons un irrépressible besoin de nous nourrir des likes et de l’opinion des autres. Cette vie sous dépendance nous fait oublier l’essentiel : l’Autre, les autres. Notre regard malade de nous n’observe plus le monde, ne s’en nourrit plus, ne se tourne plus vers ce qui le dépasse. La prière, « véritable anti-selfie », nous libère et nous nourrit. Parmi celles que les croyants adressent à leur Dieu, le Notre Père, véritable joyau de simplicité et de verticalité, nous offre de cheminer au-delà de nos égoïsmes. Ce court livre est une promenade intérieure à l’écoute des cieux, de l’au-delà à l’au-dedans, des mots de guérison qui invitent à l’ouverture et à la générosité plutôt qu’au repli sur soi et à l’enfermement.
« Son train était prévu à 7h46 vers Bruxelles-Nord d’où il monterait dans le 8h06 vers Liège et Eupen. À 9h22, il descendrait à Verviers-Central. Elle l’attendrait sur le quai, “au pied des escaliers”, avait-elle précisé. Il se sentait un peu fou, comme le soir de leur première rencontre parisienne, quand il s’était retrouvé seul, sans elle, avec pourtant la certitude qu’elle était la femme de sa vie. »
Des voyages, des instantanés de vie surpris dans les trains. L’existence s’y conjugue, au fil des rencontres, à toutes les personnes du singulier et du pluriel. Des nouvelles comme des huis clos où l’être humain se retrouve face à ses fragilités, à ses drames, mais aussi à sa faculté de résilience. Des nouvelles d’amour et de vie où chacun peut se reconnaître.
On en parle