On en parle

Mortelle assemblée de copropriété

L’efficacité de ce roman noir tient beaucoup à l’enquête que mène le narrateur, flanqué d’un jubilatoire Youssef, sur les raisons que chacun aurait eu de zigouiller le monstre, en nous interrogeant sur nos propres motivations possibles à nous défaire de quelqu’un. Et c’est là une nouvelle facette de la dextérité de Frank qui nous avait plutôt habitués à des personnages peuplés de bonté : nous présenter cette fois des gens aux cœurs plus sombres, aux regards plus durs, comme si, malgré son ahurissant optimisme, quelque chose en lui finissait par pousser, le bousculer, et qui se nomme, pour notre plus grand malheur, la réalité.

Grégoire Delacourt, 15 janvier 2024

https://www.gregoire-delacourt.com/mortel/

Une véritable jubilation de lire le nouveau roman de Frank Andriat. (…) D’un ton allègre et jouissif, Andriat s’amuse comme un gamin et nous aussi dans la foulée.

Dominique Zachary, L’Avenir du Luxembourg, 20 janvier 2024.

Au fil des pages, le lecteur est plongé dans l’intrigue captivante qui se déroule dans un lieu clos. Les personnages, chacun avec ses propres névroses et motivations, ajoutent une profondeur psychologique au récit. Les relations complexes entre voisins se révèlent et les alliances se forment ou se brisent au gré des circonstances. Frank Andriat réussit à mêler humour, drame et suspense dans ce tableau vivant. Les chapitres se tournent rapidement et ajoutent une nouvelle couche à l’intrigue. Finalement, le lecteur est confronté à la réalité incontournable du vivre ensemble, des égocentrismes, des tempéraments extrêmes, des insatisfactions et de la bêtise humaine.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 20 janvier 2024.

Fin observateur de ses contemporains, Frank Andriat s’amuse beaucoup et le lecteur suit.

Michel Paquot, L’Avenir, 30 janvier 2024.

Frank Andriat passe ainsi allègrement de la satire au roman noir et nous offre un joli miroir de la noirceur des âmes. Car à bien y regarder, chacun des protagonistes aurait des raisons de se plaindre, de se révolter, voire de passer à l’acte une fois écartés ceux qui n’ont plus la force physique et ceux qui étaient loin au moment des faits. De découvertes en révélations, ce vrai-faux polar est d’abord le révélateur de relations sociales qui se dégradent, de la volonté de faire primer son bonheur personnel sur l’intérêt collectif. Alors la farce peut effectivement virer au drame.

Henri-Charles Dahlem, Ma collection de livres, 14 février 2024.

Une île lointaine

Andriat réussit admirablement à trouver le juste milieu entre tendresse, drôlerie et sérieux. (…) Joli texte qui, sans complexes, ose raconter une vie heureuse dans une famille « classique », voire banale, mais qui, comme toutes les familles, doit faire face à la perte d’un cher.

Valeria Catalano, Profff, n°34, 30 juin 2023.

L’histoire est simple. Valentin a quinze ans, cette année-là, Apollon, son chien, un drahthaar de 91 ans — en âge humain — et Papy, son grand-père de 13,5 ans — en âge canin— vont mourir.
L’adolescent appréhende pour la première fois l’éphémérité et la finitude de la vie et là où excelle le talent de Frank c’est que, loin de nous tirer quelques larmes ou de se complaire dans une philosophie niaiseuse, il nous emmène dans la joie. La joie d’avoir vécu, d’avoir connu, d’avoir été. Et c’est là toute la beauté de cette histoire, la même beauté en leurs temps que The Champ, le film de King Vidor, ou Stewball, la ballade américaine : quelque chose qui rend absolument humaine et lumineuse l’obscurité.

Grégoire Delacourt, 31 août 2023.

https://www.gregoire-delacourt.com/une-histoire-proche/

Malgré le thème abordé par ce roman, Frank Andriat ne tombe jamais dans le pathos. Bien que de nombreux passages soient émouvants, ils sont contrebalancés par des moments d’humour qui rendent la lecture très agréable.

Blog de Lucy Schartz, 1er septembre 2023.

L’émotion est présente tout au long de la lecture et, si la tristesse tisse la toile de fond de ce récit, la lumière des sentiments entre les différents personnages éclaire avec douceur la fragilité de ceux qui, inévitablement, s’approchent d’une île que la jeunesse imagine lointaine. Comment aborder les rives de la vieillesse quand elles se dessinent autour de ceux qu’on aime, surtout quand on est dans la force de l’âge ? Avec délicatesse, ce roman dépeint le quotidien d’une famille consciente de l’importance des petites attentions à porter à l’autre.

Catherine Delperdange, Dimanche, 3 septembre 2023.

« Grandir c’est voir vieillir les autres » écrit Frank Andriat. Avec des mots justes, il nous donne à vivre une tranche de vie avec ses joies, ses peines. Comment faire face à la vieillesse de ceux qu’on aime ? Rien n’est simple.Un récit mélancolique, doux et triste.

Sophie Dalla Valle, Les papotis de Sophie, 8 septembre 2023.

Une histoire simple, profonde et émouvante par la grâce d’une écriture oscillant avec beaucoup de justesse entre sensibilité et humour. (…) Un roman jeunesse sensible et délicat qui certainement en marquera plus d’un.

Marielle Gillet, L’Avenir du Luxembourg, 8 septembre 2023.

Un roman qui aurait pu finir très mal, avec la mort du chien et du grand-père, ou très bien, avec un remède miracle qui sauverait le chien et le grand-père, mais l’histoire n’est pas finie. Elle continue dans la tête du lecteur qui sait d’ailleurs très bien comment elle se terminera. Pas la peine de l’écrire noir sur blanc.
Et n’oublions pas la note joyeuse, la lumière sur le chemin, les premiers pas amoureux de Valentin et Marta…
Un roman qui plaira autant aux adultes qu’aux ados.

Blog de Philippe Dester, 14 septembre 2023.

La générosité, la tendresse et l’humanité de l’auteur transparaissent à travers ce double regard porté sur les êtres aimés.

Michel Paquot, L’Avenir, 26 septembre 2023.

La plume de Frank Andriat est douce, sensible, émouvante. Dans ce roman très court, il met en scène un jeune adolescent qui s’adresse à son chien, compagnon de toujours et confident. Il lui confie tout : sa peur le de le voir s’en aller pour rejoindre une « île lointaine », son amour pour Marta qu’il pense non réciproque, la maladie dégénérative de son grand-père qui l’emmène doucement vers le bord de l’abîme. Malgré les thématiques sérieuses abordées dans cette centaine de pages, le lecteur ne referme pas le livre avec tristesse. Au contraire, l’humour qui ponctue le roman, la tendresse qui (re)lie les personnages et la bonne humeur qui s’en dégage en font un livre efficace qui met en avant la vie, à travers et au-delà de la mort et de la disparition d’un être aimé.

Ephonyel, Babelio, 9 octobre 2023.

Par le biais de Valentin s’adressant à son fidèle compagnon, l’auteur aborde des sujets sombres comme joyeux, dans un subtil mélange d’authenticité et de douceur, toujours teinté d’un brin de malice, et de beaucoup de tendresse. Une île lointaine n’est pas une histoire triste, c’est un récit de vie, le récit de plusieurs vies et des amours qui les lient, jusqu’au bout. Et si l’émotion est bien là, larmes et sourire se côtoient.

Estelle Piraux, Le Carnet et les Instants, 27 octobre 2023.

La plume de Frank Andriat est sensible et émouvante.

Léa Grandsire, Lu et partagé, Novembre 2023.

Lorsque la vie déraille

Six nouvelles seulement pour un recueil de 145 pages, ce qui veut dire que chaque texte est assez long. On pourrait presque les qualifier de mini-romans tant ils sont riches et complets. Je l’ai déjà dit : je n’aime pas trop les textes très courts qui ne me permettent pas de me mettre dans l’ambiance du bouquin. Ici, j’en ai eu tout le loisir pour mon plus grand bonheur. Un très bon recueil de Frank Andriat !

Philippe Dester, CduBelge, 13 février 2021.

Un voyage en train n’est jamais anodin et Frank Andriat surfe brillamment avec vous sur l’aventure du rail.

Jérôme Cayla, Les Chroniques de Goliath, 15 février 2021.

Racontées avec générosité et humanité, ces six histoires se passent dans un train, lieu des multiples possibles.

Michel Paquot, L’Avenir, 16 février 2021.

Bon recueil de nouvelles avec deux textes particulièrement percutants sur les hasards qui jalonnent une vie.

Mr. K, Livraddict, 16 février 2021.

Six jolies histoires à découvrir au fil du train.

Antoine Labye, RCF, 22 février 2021.

Les questions qui se posent dans ce recueil de nouvelles sont portées par une écriture tantôt apaisante, tantôt pétillante, mais qui reste classique. (…) Chacun pourra y retrouver une petite tranche de sa propre vie.

Marielle Gillet, L’Avenir du Luxembourg, 22 février 2021.

C’est avec maestria que Frank Andriat maintient constamment notre lecture en éveil. Chaque nouvelle est comme un cadeau que l’on a hâte de dégager de son emballage, et en tant que lectrice, pas une d’entre elles ne m’a déçue.

Nathalie Barrié, Nouvelle Donne, 27 février 2021.

https://www.nouvelle-donne.net/chroniques/critiques-de-recueils-de-nouvelles/article/lorsque-la-vie-deraille-frank-andriat

J’ai adoré la maîtrise avec laquelle Frank Andriat raconte, semant tout au long du récit, de petits cailloux qui, mine de rien, nous préparent au mot « fin », une fin toujours inattendue et magnifiquement léchée. Tous ses textes sont emplis de tendresse, de bienveillance, d’humanité, d’amour, de chagrin mais aussi de résilience. Un vrai bonheur de lecture.

Geneviève Munier, Memo-Emoi, 1 mars 2021.

https://memo-emoi.fr/lorsque-la-vie-deraille-frank-andriat/

L’écriture de Frank s’est faite ici précise et envoûtante, comme un trajet en Orient-Express : pas de gras, pas de mots de travers ni d’inutiles fioritures. Le luxe des mots à l’état pur.

Grégoire Delacourt, 2 mars 2021.

https://www.gregoire-delacourt.com/dexcellentes-nouvelles-de-frank-andriat/

C’est très brillamment mené par un sens de la narration très précis, maîtrisé et menant bien souvent à une pirouette finale pleine de sens et de réflexion. Les amateurs de nouvelles peuvent foncer, ils ne seront pas déçus.

Mr K, Le Capharnaüm éclairé, 5 mars 2021.

http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2021/03/05/38848390.html

Les personnages d’Andriat sont attachants jusque dans leur incapacité à poser les actes héroïques dont ils rêvent.

Thierry Bellefroid, Sous couverture, RTBF, 5 mars 2021.

Il s’agit naturellement de huis-clos narrés avec fluidité, en prenant garde à chaque détail. Ne l’oublions pas, l’auteur est avant tout un poète qui maîtrise la langue et cisèle les mots. En visant l’épure, il ne s’encombre jamais de dialogues superflus ni de- redondances. À travers une poignée de voyages, il nous convie à des instantanés immortalisés par un trait de plume et n’oublie jamais qu’un récit doit d’abord raconter une histoire.

Daniel Bastié, Bxl Culture, 5 mars 2021.

Les mardis d’Averell Dubois

Porté par un humour revigorant, Les mardis d’Averell Dubois suit pendant un demi-siècle un vendeur de Peugeot qui finit par trouver l’amour. (…) Au fil de ses livres, Frank An­driat navigue avec une égale réussite entre ses romans pour adolescents et adultes.

Michel Paquot, L’Avenir, 6 novembre 2020.

Comme souvent chez l’auteur, la veine comique ou la caricature sont aussi les vecteurs d’une vision positive de la vie qui s’exprime par petites touches.

Ghislain Cotton, Le Carnet et les Instants, 11 novembre 2020.

Avec ce roman, Frank Andriat nous fait traverser plus de cinquante ans d’Histoire à travers des personnages jubilatoires et des aventures pleines d’humour, où l’écriture lumineuse de l’auteur fait toujours mouche.

Mélodie Mouzon, La Meuse, 23 novembre 2020.

Rumeurs, tu meurs !

Dans ce Rumeurs, tu meurs ! (rumeur-tumeur) qui met en scène le harcèlement d’une élève de 16 ans (Alice) par un couple diabolique du même âge (Lena et Javier), Frank décortique, comme on autopsie, la glissade qui part d’un mot ou d’un regard de travers et finit dans la plus sinistre fange. L’ultime violence. Celle qui mène l’autre au dégoût de lui-même. Le tour de force de Rumeurs, tu meurs ! est d’être parvenu à contenir dans un huis-clos étouffant une histoire affreusement publique (du fait de l’exhibitionnisme effarant des réseaux sociaux). C’est dans la poudrière irrespirable de cette confrontation entre Alice et Lena-Javier que volent les mots, comme des poussières dans la lumière. Les mots qui tuent. Littéralement.
À l’arrivée un texte important à mettre entre les mains de tous les ados qui ont un compte Facebook, Instagram ou autre. Et surtout de leurs parents. Parce que si les mots tuent, ils sauvent aussi.

Grégoire Delacourt

http://www.gregoire-delacourt.com/category/livres/

10 septembre 2020

L’action est bien menée, et notre héroïne emberlificotée dans son monde découvre que l’extérieur ne ressemble pas toujours à un conte de fée. Quelle claque ! Le mécanisme de perversion mis en place par Lena, est remarquablement expliqué et décortiqué, la pédagogie sous jacente est bien présente et ne gâche absolument pas le plaisir de lecture. Merci Frank pour ce très beau roman plein de tendresse, de rage, de détresse, de volonté, d’entraide, de délations, de trahisons… de vie quoi.

Joël Braem, Librairie UOPC, 10 septembre 2020

Un nouveau livre sur le thème du harcèlement scolaire me direz-vous ? Certes, mais celui-ci est écrit par un maître de la littérature de jeunesse à mes yeux : Frank Andriat. Un auteur qui n’y va pas par quatre chemins. Il suffit de lire Aurore barbare pour le comprendre. Donc ça, c’est déjà une bonne raison de le lire.

Et puis c’est un auteur qui sait manier la langue française. J’ai réalisé en lisant ce roman que cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un texte employant du passé simple ! Deuxième raison de le lire !

Aurélie, Follepicarde, 3 octobre 2020

Ce remarquable roman, d’une extrême justesse dans la description de la détérioration de la situation et de ce que vit intérieurement l’adolescente, vient rappeler qu’il faut impérativement parler, ne rien garder pour soi et accepter l’aide des autres.

Michel Paquot, Vers l’Avenir, 3 octobre 2020.

L’auteur a donc su construire une intrigue forte en mettant le doigt sur un vrai problème de société. Mais il va au-delà de cela en exposant également les « bons réflexes » à avoir en cas de harcèlement. Il essaie de mettre en avant la lueur d’espoir au bout du tunnel. (…) Ce roman est à mettre entre toutes les mains car il délivre un constat alarmant mais également un message fort.

Amandine, Au fil des Plumes, 4 octobre 2020

Rumeurs, tu meurs!

Un cri d’alarme à destination des enfants et des parents, et un livre de plus de Frank Andriat pour armer les uns et les autres dans leur vie de tous les jours.

Claudine Rahier, Babelio, 6 octobre 2020

Frank Andriat est brut dans son écriture et direct dans son récit. Les événements s’enchaînent pour montrer comment la rumeur mène petit à petit à la catastrophe. La tension monte à mesure que la rumeur et le harcèlement enflent.

Lirado, 13 octobre 2020.

Et la force de ce roman est bien là. Tout le monde peut s’identifier aux personnages, que ce soit celui d’Alice, la victime ou de tous ceux qui gravitent autour d’elle. Frank Andriat parvient à démonter l’engrenage dans lequel la victime est prise, oscillant sans cesse entre la révolte, l’abattement, la colère et la honte. Les harceleurs sont très forts pour se victimiser et faire paraître Alice pour la pire fille du monde. Et les réseaux sociaux amplifient rapidement les faits puisque ceux-ci sont relayés de jeune en jeune et dépassent rapidement l’enceinte du collège.

Argali, 20 octobre 2020.

Un livre important à mettre entre toutes les mains.

Alicia Morette, TV Lux, 28 octobre 2020.

Meurtre à la bibliothèque

La singularité de ce roman policier est d’avoir deux fins possibles par rapport aux coupables. Le choix du lecteur optera pour une fin morale ou une fin un peu immorale.

Édouard Debelder, Le Courrier de l’Escaut, 20 janvier 2020.

Chez lui, l’efficacité se met toujours au service de la narration. Habitué des livres jeunesse, il pratique une narration fluide, sans démonstrations stylistiques, conscient qu’un livre doit demeurer accessible au plus grand nombre. L’originalité de ce récit tient dans son épilogue. Au lecteur d’effectuer le tri entre deux conclusions et deux maximes.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 5 février 2020.

Un roman de moins de 200 pages qui a la force et la rapidité de la littérature destinée aux ados et la qualité d’une intrigue policière d’une brique pour adultes. Un vrai tour de force réalisé par Frank Andriat. Chapeau !

Marie-Sophie Grognet, Branchés Culture, 5 février 2020.

Ce qu’on en pense… que du bien ! Un ouvrage format poche , 180 pages que vous pourrez dévorer en une soirée.

Terry Lemmens, Vivacité, 12 février 2020.

Un polar bourré d’humour, de suspense, de faux coupables, le lecteur enquête lui aussi pas à pas au fil de sa lecture. Un huis clos bien amené par la plume toujours incisive de Frank Andriat qui offre en plus au public le choix entre deux fins possibles.

Sophie Dalla Valle, Les papotis de Sophie, 27 février 2020.

L’originalité de Meurtre à la bibliothèque, bref roman pour ados de Frank Andriat, est sa double fin : morale ou immorale ? En fonction du pedigree du criminel et des circonstances du meurtre, chacun se fera son propre avis.

Michel Paquot, Vers l’Avenir, 5 mars 2020.

Une intrigue efficace qui fera passer un bon moment à nos adolescents (…) À « mon époque », j’avais découvert et travaillé le genre policier en classe grâce aux livres de Georges Simenon et d’Agatha Christie. Avec ce livre de Frank Andriat, la relève est assurée !

Jessica, The Eden of Books, 16 mars 2020.

Grâce à son style fluide, sans fioritures mais efficace, ce récit est accessible à tous les jeunes lecteurs et devrait plaire à un grand nombre.

Caroline De Liever, Karoo, 23 mars 2020.

Frank Andriat sait y faire pour ficeler des intrigues moins légères qu’il n’y paraît et ainsi donner le goût de la lecture et des mots aux plus réfractaires.

O.V.V., Focus Le Vif, 26 mars 2020.

Ce roman plaira aussi bien à la jeunesse qu’à l’adulte que nous sommes. On ne peut pas s’ennuyer au cours de l’histoire. Les pages défilent, l’histoire est bien ficelée et le coupable n’est connu qu’à la toute fin. Un roman à mettre entre toutes les mains.

Les moments lectures de Laconteuse, 7 avril 2020.

Les Politichats

Quand Frank Andriat quitte le sentier de la littérature jeunesse, il n’hésite jamais à sortir ses griffes. C’est encore le cas dans Belgiques : les politichats, une fable belgo-burlesque déclinée sous forme de neuf nouvelles dans lesquelles les chats sont des héros.

Nicolas Keszei, L’Echo, 30 mars 2019.

Les rivalités linguistiques, pas plus que la question des migrants et, évidemment, les Diables rouges ne sont absents de ces textes écrits avec finesse et humour.

Michel Paquot, L’Avenir, 4 avril 2019.

Une manière salutaire de critiquer la politique que l’on nous sert et dans laquelle nous ne nous retrouvons pas.

Argali, Babelio, 7 avril 2019.

Même si on ne connaît pas tout de la chose politique, on rit et on sourit. Frank Andriat signe là neuf textes qui tombent à pic.

Mélody Goffin, L’Avenir du Luxembourg, 11 avril 2019.

Neufs historiettes viennent ainsi illustrer tout en humour et finesse les petits travers de celles et ceux qui nous gouvernent, prisonniers d’un biotope où la duplicité, l’avidité et l’égoïsme deviennent trop souvent une seconde nature. Il y a forcément une morale à toutes ces histoires, dans le droit fil des fables de La Fontaine : entre les lignes perce un plaidoyer pour le miauler ensemble.

Pierre Havaux, Le Vif, 12 avril 2019.

La prose de Frank Andriat n’est jamais méchante. Elle brocarde certes, mais avec gentillesse et en se servant de l’humour pour ne jamais blesser ni fermer des portes. Ses Politichats sont avant tout une invitation à s’interroger sur la société que nous plébiscitons.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 15 mai 2019.

Honneur aussi à Andriat lui-même qui, avec autant d’imagination que d’aisance et d’humour, retombe toujours sur ses pattes dans ces histoires de chats malgré les embûches et les contraintes du contrat-programme de départ.

Ghislain Cotton, Le Carnet et les Instants, 31 décembre 2019.

Méditations heureuses sous un cerisier du Japon

Les trente chapitres qui composent ces profondes Méditations heureuses sont autant de beaux moments amenant le lecteur à réfléchir à lui-même, à son parcours de vie. Et peut-être à se demander, avec Grégoire, « qu’est­-ce que le bonheur ? »

Michel Paquot, L’Avenir, 4 octobre 2018.

À la façon d’une méditation, la lecture du dernier livre de Frank Andriat nous convie à nous poser, nous aussi, et à nous relier à toutes ces vies qui nous entourent, à les accueillir, précieuses, offertes, comme il l’avait déjà fait dans son livre Le mouvement immobile.Il nous suggère de devenir des contemplatifs de la vie que nous menons et pas des esclaves de celle que nous imaginons.

Catherine Delperdange, Dimanche, 7 octobre 2018.

L’histoire est belle, bien imaginée, pleine de réalités, pleine d’attentions, tendre à souhait et intelligente.

Joël Braem, Librairie UOPC, 13 octobre 2018.

Une belle manière d’aborder les bienfaits de la pratique de la méditation dans notre société et les bienfaits qu’elle a dans notre vie et sur notre esprit.

Laura Sengler, Métro, 17 octobre 2018.

Avec ce livre, Frank Andriat se situe aux antipodes de certains romans en vogue, tonitruants, où il s’écrit que le monde est laid et que le désespoir est le seul avenir de l’humain. C’est une petite voix discrète qui ne nie pas la solitude, l’injustice et la détresse mais affirme avec douceur et tendresse que le bonheur existe et invite à s’interroger sur ce qu’il est en vérité, sur le chemin à suivre pour l’atteindre et sur la manière de le partager.

Anne-Marie Pirard, Les recensions de la boutique, Monastère Notre-Dame d’Hurtebise, janvier 2019.

Ta mort comme une aurore

L’auteur signe un roman tout en finesse où le désespoir et les ténèbres se retirent au profit de l’amour et de la lumière.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 15 mars 2018.

Dans ce court roman, Frank Andriat nous prend par la main et nous montre comment son attachant personnage de chair et de chagrin ne cède pas au désespoir et se relève à travers de jolies rencontres.

Caroline Geskens, Télépro, 19 avril 2018.

La recherche spirituelle, la fraîcheur des sentiments font de ce récit au titre explicite un livre très encourageant.

Gérald Hayois, L’Appel, mai 2018.

Chronique de ces jours fié­vreux et déterminants pour un homme en quête de son iden­tité, de sa liberté et de l’amour d’une femme qui soit autre que sa génitrice, Ta mort comme une aurore appartient sans doute aux textes les plus forts d’un auteur qui, invariablement, s’est fixé la quête du bonheur, comme seule issue valable.

Philippe Colling, L’Avenir du Luxembourg, 8 mai 2018.

Le bonheur est une valise légère

Ce roman se lit vite, se dévore, que dis-je, et la plume de Frank Andriat nous amène tout en douceur à réfléchir à la vie de fous que l’on mène, au boulot qui nous presse comme des citrons, au peu de temps que nous consacrons à juste rêver, regarder en l’air et apprécier la beauté du monde. Combien de personnes, la nuque baissée sur leur smartphone, loupent un vol d’oiseaux ou un coucher de soleil par la vitre du train ? A traiter leurs mails jusque 22 H au lieu de déconnecter, et de savourer l’instant présent ? C’est de cela dont il est question dans ce roman : du burn out qui nous guette, à vouloir en faire plus, toujours plus, et même trop… De la beauté de la vie, des plaisirs simples et de l’importance d’être en accord avec soi-même, de se respecter, pour vivre heureux et apaisé …

Une très très jolie lecture, merveilleusement écrite, que je vous recommande chaleureusement !

Christelle H., Histoires d’en lire, 30 août 2017.

http://histoiresdenlire.blogspot.be/2017/08/le-bonheur-est-une-valise-legere-de.html

Le bonheur est une valise légère est une histoire simple, mais profonde. Avec une écriture nettoyée de tout artifice, qui transmet une émotion. Frank Andriat sait d’instinct construire une intrigue. (…) Et comme l’a chanté Léo Ferré (peut-être que ce vers, murmure subliminal, a frôlé l’oreille de Frank Andriat) : « La tristesse, c’est pas grand-chose, c’est du bonheur qui se repose »… À méditer.

Marielle Gillet, L’Avenir du Luxembourg, 4 septembre 2017.

Avec une plume légère, qui évoque plus
qu’elle impose, Frank Andriat signe un roman poétique qui parle
de nos limites, des caps que nous souhaitons franchir sans en avoir toujours l’énergie, des regrets, d’une certaine nostalgie et d’une société qui bride les gens dans leurs élans pour exiger toujours davantage, oubliant que la félicité est le moteur de toutes choses.

Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 15 septembre 2017.

Au milieu des mastodontes de la rentrée, des compétiteurs de la plus grosse quéquette littéraire, voici un livre qui nous arrive, sur la pointe des pieds, ou plutôt sur les roulettes silencieuses d’une valise légère, et nous parle de ce tout petit truc qu’on oublie dans nos vies compétitives (…), dans nos vies encombrées : le bonheur. Pas celui des autres ou du monde, non, le nôtre, le petit, l’immense, celui qui équilibre nos existences et nous harmonise. Frank Andriat ose un livre simple, généreux ; un personnage, Selma, nerveuse comme un écrivain en ce moment, engagée parce qu’elle est belle et que certains patrons pensent encore que la beauté (le tour de poitrine et la courbe des fesses, en fait) permet d’obtenir des contrats, une femme perdue en elle-même, qui, par la grâce d’une rencontre un jour de grève de la SNCF, va remettre ses pendules à l’heure. (…) Et il n’en faut pas plus à Frank pour nous dérouler son histoire, sa chanson d’amour de la vie et du présent, un conte d’apparence légère, à contre-courant de tout ce qui vient d’être publié, et que j’ai lu avec joie comme on reçoit une brise vivifiante un après-midi d’orage. Un livre que tous les écrivains qui espèrent un Prix d’automne devraient lire. Histoire de se détendre.

Grégoire Delacourt, 21 septembre 2017.

http://www.gregoire-delacourt.com/bonheur-na-de-prix-litteraire/

Un très joli livre, sensible, qui, mine de rien, donne de bonnes pistes de réflexion….

Anne, La maison des bouquins, septembre 2017.

http://www.ecologiehumaine.eu/le-bonheur-est-une-valise-legere-coupdecoeur/

Le roman est d’ailleurs un peu comme ces chansons de variétés, pleines de bons sentiments qui font du bien au moral Et au détour d’une phrase ou d’un couplet, parfois quelques vérités essentielles bonnes à rappeler. (…) Comme quoi la grève ne produit pas que des usagers mécontents, elle peut même — du moins dans la fiction — réparer les âmes.

Samuel Delziani, La Vie du Rail, 22 septembre 2017.

Tout en finesse et sans jugement, Frank Andriat nous décrit ce mal du siècle et nous invite à réfléchir à nos limites et au bonheur à côté duquel nous passons en courant à toute haleine. (…) Délicatement, il nous prend par la main vers plus de sérénité.

Catherine Gielen, Dimanche, 8 octobre 2017.

Un feel good book bien mené, intéressant pour aborder une remise en question de son comportement face aux pressions quotidiennes de la vie.

Joël Braem, Librairie UOPC, Bruxelles.

Une belle invitation à une existence plus sereine, disponible à l’inattendu et à la vraie rencontre.

Gérald Hayois, L’Appel, novembre 2017.

Une leçon de vie à déposer sous votre sapin de Noël !

Blandicesbooks, 4 décembre 2017.

Frank Andriat nous fait vivre un burn out de l’intérieur et nous montre le long chemin à parcourir pour retrouver joie et paix. Il faut beaucoup aimer les hommes pour écrire un roman si solide, réaliste et positif.

Caroline Geskens, Télépro, 7 décembre 2017.

Une lecture douce, agréable, légère, on se laisse transporter tranquillement et cela fait du bien. À l’image des bons romans d’été que l’on dévore sur le sable chaud, vous passerez un joli moment au coin du feu cet hiver grâce à ce livre, j’en suis sûre !

Mademoiselle Lit, 9 décembre 2017.

http://www.mademoisellelit.com/bonheur-valise-legere-frank-andriat/

Pour avoir rencontré Frank Andriat, ce roman est à son image : bienveillant, pétillant, à l’écoute des autres. Arrêtons de stresser, de foncer et prenons le temps de savourer la vie. Une vision optimiste du monde, parfois peut-être trop belle pour y croire, mais ça fait quand même du bien !

Les papotis de Sophie, 17 décembre 2017.

Ce livre est le premier que je lis de Frank Andriat. Un livre sensible, humain, humaniste, touchant. Même si les personnages sont parfois un peu extrêmes (Grégoire « le sage », un peu lisse peut-être, et Selma la commerciale aux dents longues, qui au début m’a fortement rappelé Yaël du livre Désolée, je suis attendue…), ce conte moderne se laisse lire avec plaisir, dans la légèreté. La construction du récit est maîtrisée, le rythme emmène le lecteur sans le presser, comme une invitation à se poser, à prendre le temps, à profiter de l’instant présent. Une lecture positive et qui fait du bien.

Petit soleil, Babelio, 7 janvier 2018.

Son dernier-né est, pour moi, l’un de ses plus beaux romans. Son titre, Le bonheur est une valise légère, fait un peu penser à ces bouquins feel good qui fleurissent actuellement. C’en est un, d’une certaine manière, on se sent vraiment bien en le refermant. Mais c’est bien plus que cela, grâce à une vraie écriture (formule consacrée qui dit bien ce qu’elle veut dire), ce qui est loin d’être souvent le cas dans ce type de littérature, et aussi par la finesse avec laquelle il construit l’intrigue et ses personnages.

Michel Paquot, blog-a-part.eu, 12 janvier 2018.

Une Selma légère, gaie, audacieuse et libre se dessine au fil des pages d’un livre subtil et sensible. Une femme réconciliée avec elle-même qui a appris à rêver, «accueillir, bénir et aimer». En sourdine la musique de Mozart, les chansons de Jean-Jacques Goldman et les livres de Christian Bobin. Un conte moderne qui nous invite à nous arrêter pour nous laisser rejoindre par la vie.

Geneviève de Simone-Cornet, Echo-Magazine, 28 juin 2018.

Ce livre est une bulle de douceur pour une vie plus en conscience. A lire et à faire lire !!!

Coup de cœur de Sandrine Dantard, libraire à la Fnac Grenoble – Grand Place – Novembre 2018.