Lorsque la vie déraille

Six nouvelles seulement pour un recueil de 145 pages, ce qui veut dire que chaque texte est assez long. On pourrait presque les qualifier de mini-romans tant ils sont riches et complets. Je l’ai déjà dit : je n’aime pas trop les textes très courts qui ne me permettent pas de me mettre dans l’ambiance du bouquin. Ici, j’en ai eu tout le loisir pour mon plus grand bonheur. Un très bon recueil de Frank Andriat !

Philippe Dester, CduBelge, 13 février 2021.

Un voyage en train n’est jamais anodin et Frank Andriat surfe brillamment avec vous sur l’aventure du rail.

Jérôme Cayla, Les Chroniques de Goliath, 15 février 2021.

Racontées avec générosité et humanité, ces six histoires se passent dans un train, lieu des multiples possibles.

Michel Paquot, L’Avenir, 16 février 2021.

Bon recueil de nouvelles avec deux textes particulièrement percutants sur les hasards qui jalonnent une vie.

Mr. K, Livraddict, 16 février 2021.

Six jolies histoires à découvrir au fil du train.

Antoine Labye, RCF, 22 février 2021.

Les questions qui se posent dans ce recueil de nouvelles sont portées par une écriture tantôt apaisante, tantôt pétillante, mais qui reste classique. (…) Chacun pourra y retrouver une petite tranche de sa propre vie.

Marielle Gillet, L’Avenir du Luxembourg, 22 février 2021.

C’est avec maestria que Frank Andriat maintient constamment notre lecture en éveil. Chaque nouvelle est comme un cadeau que l’on a hâte de dégager de son emballage, et en tant que lectrice, pas une d’entre elles ne m’a déçue.

Nathalie Barrié, Nouvelle Donne, 27 février 2021.

https://www.nouvelle-donne.net/chroniques/critiques-de-recueils-de-nouvelles/article/lorsque-la-vie-deraille-frank-andriat

J’ai adoré la maîtrise avec laquelle Frank Andriat raconte, semant tout au long du récit, de petits cailloux qui, mine de rien, nous préparent au mot « fin », une fin toujours inattendue et magnifiquement léchée. Tous ses textes sont emplis de tendresse, de bienveillance, d’humanité, d’amour, de chagrin mais aussi de résilience. Un vrai bonheur de lecture.

Geneviève Munier, Memo-Emoi, 1 mars 2021.

https://memo-emoi.fr/lorsque-la-vie-deraille-frank-andriat/

L’écriture de Frank s’est faite ici précise et envoûtante, comme un trajet en Orient-Express : pas de gras, pas de mots de travers ni d’inutiles fioritures. Le luxe des mots à l’état pur.

Grégoire Delacourt, 2 mars 2021.

https://www.gregoire-delacourt.com/dexcellentes-nouvelles-de-frank-andriat/

C’est très brillamment mené par un sens de la narration très précis, maîtrisé et menant bien souvent à une pirouette finale pleine de sens et de réflexion. Les amateurs de nouvelles peuvent foncer, ils ne seront pas déçus.

Mr K, Le Capharnaüm éclairé, 5 mars 2021.

http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2021/03/05/38848390.html

Les personnages d’Andriat sont attachants jusque dans leur incapacité à poser les actes héroïques dont ils rêvent.

Thierry Bellefroid, Sous couverture, RTBF, 5 mars 2021.

Il s’agit naturellement de huis-clos narrés avec fluidité, en prenant garde à chaque détail. Ne l’oublions pas, l’auteur est avant tout un poète qui maîtrise la langue et cisèle les mots. En visant l’épure, il ne s’encombre jamais de dialogues superflus ni de- redondances. À travers une poignée de voyages, il nous convie à des instantanés immortalisés par un trait de plume et n’oublie jamais qu’un récit doit d’abord raconter une histoire.

Daniel Bastié, Bxl Culture, 5 mars 2021.

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